Documentaires sonores

Depuis la première édition, le festival porte un intérêt très particulier aux œuvres sonores documentaires. A l’instar du documentaire de création, les œuvres sonores et documentaires que nous cherchons, interrogeons et donnons à entendre mettent le son au cœur de leur dispositif, explorant ainsi les frontières du documentaire sonore avec le podcast, la musique, le cinéma.

Dans la continuité de l’année dernière, la programmation cherche à prendre le pouls de la création sonore documentaire contemporaine et la mettre en regard avec son histoire. Cette année, ces expériences sonores se feront autour de la thématique de l’édition : FAIRE MEMOIRE. 
En ce sens, un appel à documentaires sonores a été lancé et deux œuvres ont été retenues : Donc nous avons décidé de manifester de Emmanuelle Tornero et L’eau est passée, les ponts sont restés de Christine van Acker.

En face d’elles seront mises en écoute deux œuvres. L’une considérée comme l’une des premières créations documentaires sonores de l’histoire, diffusée en 1930 sur les ondes radiophoniques ; Weekend de Walter Ruttman. L’autre, Bilad el châm, crée en 2013 par l’artiste sonore Julia Hanadi Al Abed est une pièce extrêmement sensible et représentative des œuvres que le festival souhaite mettre en valeur dans son programme d’œuvres sonores.